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"Guy Sherwin a étudié la peinture à la Chelsea School of Art dans les années soixante avant de se lancer dans le cinéma expérimental. Ses premiers films, qui l'occuperont durant toutes les années septante, seront du type de l'exemple décrit ci-dessus, des films complexes basés sur une idée simple, souvent sur une idée unique. C'est à la même époque que les sciences développaient leurs théories du chaos et de la complexité. On y démontrait très poétiquement qu'un battement d'aile de papillon pouvait provoquer des raz de marée. Selon le même principe, les films de Sherwin partent d'un motif simple, d'un effet unique, qui répété à l'infini, produit des effets complexes, parfois imprévus. La plupart des films de ce dvd, parmi les oeuvres les plus anciennes de Sherwin, sont basés sur des formes simples, des alternances de noir et blanc, des processus à répétitions, des accumulations. Ils montrent le parti qu'on peut tirer de matériaux réduits et de procédés systématiques. Son témoignage: ""MESSAGES a été réalisé sur une période de 3 ans, alors que ma fille Maya apprenait à parler puis à écrire. La source d'inspiration majeure de ce film fut la curiosité de Maya pour le monde, commençant avec des questions en rapport avec ses perceptions du monde physique, et, alors qu'elle grandissait, se rapportant aux conduites sociales. Ces questions ""innocentes"" (en dehors du fait qu'il était impossible d'y répondre) m'ont semblé être d'un ordre philosophique qui défie des vérités bien établies. Il m'apparaissait clairement que le savoir acquis à travers le langage obscurcit notre capacité à percevoir. Le rythme du film est lent, et la structure ouverte. Les images progressent à travers des associations indirectes plus qu'à travers des séquences linéaires, permettant au spectateur de voir à nouveau des images du début du film, aussi bien que de dessiner à partir d' associations enfantines personnelles (deux types de mémoire sont impliqués ici). La perception du film est donc unique pour chaque personne."""
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Guy Sherwin étudie la peinture dans les années 1960 avant d'être étroitement associé à l'avant-garde britannique dont le quartier général la London Film-makers Co-operative dans les années 1970. Une caractéristique commune de ses oeuvres audiovisuelles, souvent présentées sous forme de performances, est l'intérêt particulier porté à deux principes fondamentaux du cinéma : le temps et la lumière. ""Optical Sound Films"" rassemble des travaux de Guy Sherwin qui explorent la relation entre le son et l'image. Un livret de 126 pages offre un aperçu des préoccupations pratiques et théoriques de l'artiste ainsi qu'une exploration des processus de création et des technologies impliquées dans la production de ses oeuvres.
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Sherwin, Guy --- Le Grice, Malcolm --- Leggett, Mike --- Gidal, Peter --- Dwoskin, Stephen --- Keen, Jeff --- Raban, William --- Welsby, Chris --- Nicolson, Annabel --- Crosswaite, David --- Rhodes, Lis --- Halford, Marilyn --- Smith, John
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Arnatt, Keith ; Art & Language ; Burgin, Victor ; Brisley, Stuart ; Cameron, Shirley ; Coum Transmissions ; Dunford, Mike ; Dye, David ; Gidal, Peter ; Gilbert & George ; Grice, Malcolm Le ; Haselden, Ron ; Haslam, Leslie ; Head, Tim ; Hilliard, John ; Keen, Jeff ; Long, Richard ; McCall, Anthony ; Miller, Roland ; Nicolson, Annabel ; Raban, William ; Rhodes, Liz ; Sherwin, Guy ; Stezaker, John ; Welsby, Chris
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